C'est un résultat étonnant chez la sourie : l'absence d'un type de bactérie crée des comportement autistique, et surtout leur réintroduction soigne ces souries!
C'est une piste qui existe depuis longtemps pour l'autisme (humain) celle d'une corrélation avec un problème intestinal ou alimentaire ... souvent selon une approche très très pseudo-scientifique.
Quel rapport?
A priori c'est farfelu, sauf que :_ On sais maintenant (depuis 5 a 10 ans pas plus) que la flore intestinal influence le comportement par l'intermédiaire de secrétions chimique capté par une myriade de neurones tout au long du tube digestif, connectés au cerveaux bien sur. Pour explorer ce sujet chercher "deuxième cerveau" sur internet, c'est passionnant de voir comment on est piloté du dedans ... un sujet auquel de toute façon les autistes sont, il me semble, déjà beaucoup plus sensible que la moyenne.
_ Des rééquilibrage instinctif ou accidentel de cette flore, par antibiotique, régime spécial ou simple expérience de la personne à ce qui lui fait du bien ou pas ont toujours été rapporté sur les forums. Donc un effet de l'action de cette flore sur les caractères autistique est bien identifié empiriquement depuis longtemps.
Après le sujet de l'étude concerne une carence bactérienne qui crée l’état autistique ce qui peux choquer, voir ressembler a une dénégation des origines génétique par exemple, mais je pense qu'on peux le lire comme une information non pas de cause a effets mais comme un témoignage sur la possibilité d'interaction.
Mon avis perso, a moi qui défend la thèse d'une incidence transgénérationnelle de traumatisme vécu par les ancêtre est inscrit dans l'épigénétique _ le mécanisme de sélection des gènes a utiliser parmi les gènes a dispositions _ est que c'est un pas de plus vers la preuve de cette thèse.
Je rappelle qu'une sourie traumatisé (légèrement) a une descendance qui a des comportements alimentaires modifiés (descendance issue du prélèvement des gamètes inoculées a une mère porteuse, donc seul le contenu des spermatozoïdes pouvant être en cause!).
On est loin dans ces expériences animal des extrémités de vécu des autistes diagnostiqué a mon avis, n’empêche que s'il un rééquilibrage bactérien peux atténuer des difficultés de vécu du quotidien (sans effacer les singularité d'être de la façon de penser de la personne, ça touche pas la pensée mais les comportements) moi je trouve que ça serrais une bonne nouvelle. Pas vous?