SAtedI

Pour ma part :
Question chaleur : plutôt hyposensible.
Question douleur : également hyposensible ; quand je coure en forêt, je me blesse très régulièrement jusqu'au sang aux niveaux des tibias sans que cela ne me provoque de sensations douloureuses importantes (en clair, je le ressent à peine durant l'effort). Idem en post chirurgical : opéré des LCA et j'utilisais très peu la morphine à disposition au point que le chirurgien anesthésiste me demandait de davantage l'utiliser. Par contre la rupture du LCA et le déboitages du genou : douleurs atroces.

j'ai arrêté d'avoir des malaises dans les transports en commun suite à la pratique d'un exercice de respiration...

Moi non.

Il faut que tu consulte et que tu dise que tu es autiste et que tu exprime mal la douleur pour être prise au sérieux, car souvent la gravité passe inaperçu chez les autistes qui expriment pas la douleur de façon typique ou pas du tout.

Mal partout ça m'évoque un état dépressif, où l'épuisement nerveux pompe le jus nécessaire au circuit qui coupe la douleur (le jus ici étant un des types de molécules utilisé qui ne sont pas disponibles de façon infinies).
Dans ce cas ça peut être lié au changement de vie, mais attention à ne pas choisir cette option avant d'avoir la certitude que ce soit pas un truc au ventre. Une infection virale aussi fait mal partout!

En tout cas le corps ne crie jamais sans raison, arrête toi, écoute le, résout le problème coûte que coûte.
Sur aspéransa un aspie avait gardé une tumeur jusqu'à un stade trop avancé pour être opérable pour n'avoir pas su ou pu se faire diagnostiquer a temps par un médecin.


Alors zou, chez le toubib qui doit savoir que t'es autiste et comprendre ce que ça implique (en passant par un cra? avec un doc explicatif imprimé? a toi de voir)
Oublie les régimes dans un premier temps, là tu parle de souffrance, pas d'agrément.

Et tiens nous au courant!