La question de justice
Posté : 03 mars 2013, 22:13
A mon tour d'exposer mon idée:
D'après les témoignages que je reçois ici et sur deescaa,je me rend compte que les personnes aspies ont besoin de justice.La suite devient intéressant.Ce besoin de justice,ca signifie que du fait de la différence de perception de l'environnement et des stimulis humains,une personne aspie s'estimera victime d'injustice,alors que pour un neuro typique,le préjudice n'existe pas,du moins il ne le voit pas...
Sans aller vers l'auto flagélation,je m'interoge également sur la responsabilité de certaines personnes.Je m'explique.
Lors de mon parcours,avant de me faire diagnostiquer,personne ne savais précicement ce que j'avais.Et a l'école ,cette absence de diagnostic précis a été défavorable dans des établissements bureaucratiques et bornés.Bureaucratiques car les homems et les femmes de ces établissements voulaient à tout prix maintenir la réussite d'une caste bourgoise,ca leur importait peu de fabriquer de la maltraitance invisible.Je pense notament à tout ces profs et aux parents d'élèves qui ont appuyé aveuglement,encouragés contre moi de vriaes punitions et maltraitances psychologiques.C'est une maltraitance perverse car on ne la voit pas contrairement aux tortures physiques.J'allais tout les quatres matins à l'infirmerie,mais bon tant pis.
Comment justice a elle été rendu? Et bien on a fait une procédure envers l'inspection académique pour me changer d'établissement après m'avoir fait examiné par un psychatre en libéral qui m'a trouvé parfaitement équilibré..
Plus tard j'étais en zep.Bon comme disait lino ventura dans les tontons flingueurs:les cons,ils osent tout et c'est comme ça qu'on les reconnais.
En lycée,j'en ai changé,j'ai même du démissionné de mon poste de délégué de classe(la belle affaire :délégué de classe en étant le martyr d'une classe)...
Plus tard,j'ai voulu publier un ouvrage pour dénnoncer tout ça.J'ai voulu attendre encore un peu.A partir de maintenant c'est possible.
Et je connais les noms et prénoms,ca tiendrait qu'a moi d'intenter une action en justice .Je suis même dans mon bon droit au regard de la convention de l'ONU et celle de l'europe.
Bah ca cette justice c'est pas ça que je veux.Ce n'est pas avec des dommages et intérêts ou même des condamnations en pénal que ca résoudra quelque chose.Vu l'état de nos prisons(peut être même qu'ils y sont déjà...)
j'ai conservé la plupart des documents de l'époque,j'ai des preuves écrites.Justice pour moi ce serait de rendre publique tout ces agissements,sans nommer personne.A le rigueur changer les prénoms et les lieux mais pas les actes.
Je laisserais ensuite le lecteur juge et partie.
Maintenant la priorité pour moi:c'est le boulot.Je ne publie rien de compromettant tant que j'ai pas de place et que c'est stabilisé.
D'après les témoignages que je reçois ici et sur deescaa,je me rend compte que les personnes aspies ont besoin de justice.La suite devient intéressant.Ce besoin de justice,ca signifie que du fait de la différence de perception de l'environnement et des stimulis humains,une personne aspie s'estimera victime d'injustice,alors que pour un neuro typique,le préjudice n'existe pas,du moins il ne le voit pas...
Sans aller vers l'auto flagélation,je m'interoge également sur la responsabilité de certaines personnes.Je m'explique.
Lors de mon parcours,avant de me faire diagnostiquer,personne ne savais précicement ce que j'avais.Et a l'école ,cette absence de diagnostic précis a été défavorable dans des établissements bureaucratiques et bornés.Bureaucratiques car les homems et les femmes de ces établissements voulaient à tout prix maintenir la réussite d'une caste bourgoise,ca leur importait peu de fabriquer de la maltraitance invisible.Je pense notament à tout ces profs et aux parents d'élèves qui ont appuyé aveuglement,encouragés contre moi de vriaes punitions et maltraitances psychologiques.C'est une maltraitance perverse car on ne la voit pas contrairement aux tortures physiques.J'allais tout les quatres matins à l'infirmerie,mais bon tant pis.
Comment justice a elle été rendu? Et bien on a fait une procédure envers l'inspection académique pour me changer d'établissement après m'avoir fait examiné par un psychatre en libéral qui m'a trouvé parfaitement équilibré..
Plus tard j'étais en zep.Bon comme disait lino ventura dans les tontons flingueurs:les cons,ils osent tout et c'est comme ça qu'on les reconnais.
En lycée,j'en ai changé,j'ai même du démissionné de mon poste de délégué de classe(la belle affaire :délégué de classe en étant le martyr d'une classe)...
Plus tard,j'ai voulu publier un ouvrage pour dénnoncer tout ça.J'ai voulu attendre encore un peu.A partir de maintenant c'est possible.
Et je connais les noms et prénoms,ca tiendrait qu'a moi d'intenter une action en justice .Je suis même dans mon bon droit au regard de la convention de l'ONU et celle de l'europe.
Bah ca cette justice c'est pas ça que je veux.Ce n'est pas avec des dommages et intérêts ou même des condamnations en pénal que ca résoudra quelque chose.Vu l'état de nos prisons(peut être même qu'ils y sont déjà...)
j'ai conservé la plupart des documents de l'époque,j'ai des preuves écrites.Justice pour moi ce serait de rendre publique tout ces agissements,sans nommer personne.A le rigueur changer les prénoms et les lieux mais pas les actes.
Je laisserais ensuite le lecteur juge et partie.
Maintenant la priorité pour moi:c'est le boulot.Je ne publie rien de compromettant tant que j'ai pas de place et que c'est stabilisé.