SAtedI

Wouaw! Le déterrage de vieux topic
On le sait qu'en septembre ça fera 10 ans depuis qu'on nous serrine avec ça. Après faut voir ce que cette tragédie a permis de justifier, et manipuler surtout, et la les minutes de silences ont pourra les apprécier de manière quelque peu différentes dirons nous

j'avais fait un rêve similaire sur ce qui se passait le 11 septembre des années avant le 11 septembre. prémonition, fantasme, ou réminescence de mes lectures des prophéties de nostradamus ?
ce jour-là je ne travaillais pas, j'ai donc eu l'info parmis les 1ers habitants de mon pays. ils ne passaient plus que ça sur toutes les châines ou presque pendant 9h de suite. toujours les mêmes images ou presque. ça m'a parû surréaliste et j'ai tout de suite pensé à mon rêve.
des morts, y'en a partout, tout le temps, pas toujours des morts décédés de manière naturelle, on en parle peu...par contre, le lieu de son travail, c'est un endroit très triste pour mourir, je trouve...
et évidemment, en tant qu'écolo, je suis contre la mort non naturelle, sauf exceptions.

samedit a écrit : ....et évidemment, en tant qu'écolo, je suis contre la mort non naturelle, sauf exceptions.

Oui se faire buter par un avion c'est sûre beaucoup, écolo ou pas, n'aimeraient pas
Après les dix ans du 11 septembre, que ça sois dix ans, vingt ans, etc, bof ça ne change rien. Dis toi qu'il fallait bien qu'un truc dans le genre arrive un jour à ce pays, lui qui n'a jamais était frappé réellement sur son sol (Pearlharbord c'était à péta aux chnocs) par une puissance étrangère ni envahit, et se croyait invulnérable, loin des guerres qu'il lance ou instigue.

Le seul truc vraiment hallucinant c'est que les gus aient fait ça avec des simples cutters.........et après on va nous dire que ça a pas était laissé faire. Moi ça me parait vraiment trop énorme. Péter les tours, éventrer le pentagon, presque éclater la maison blanche avec des simples ustensiles de bureau, mais biensûre. Pourquoi pas ligoter le personnel avec du PQ, et les buter avec des coupes ongles pendant qu'on y est Et personne n'a rien su en haut lieux, rien vu venir, évidement