Posté : 14 avr. 2010, 09:36
Bien que tu as dit que la question ne t'intéressait plus , UB, es tu allé voir le post de yoyo intitulé TDAH?
Personnellement, j'ai toujours cru que j'avais une mémoire déplorable (inutile) et effectivement je ne pouais pas l'utiliser quand je voulais ni comme je voulais, je ne retenais rien par coeur ou alors seulement un jour.
Depuis, j'ai appris par coeur El Desdichado de G. de Nerval et une strophe interminable de Pride and Prejudice de J. Austen (Be not alarmed Madam..) J'y suis arrivée par ce que j'aime ces textes PASSIONNEMENT, que j'étais MOTIVEE et que je l'ai fait pour moi (pas de pression).
Pour ce qui est de l'attention je faisais pleins d'étourderies et j'en fais encore . Comme de confondre un mot avec un autre, comme d'écrire un texte et être satisfaite alors que lorsque je le relis le lendemain je trouve ça insensé.
Quand je suis fatiguée c'est une catastrophe!
Avant que je ne me socialise ou que je fasse travailler ces modules physiologiques dans des situations réelles en pensant que j'en étais capable, je ne pouvais me concentrer plus de 8 mns sur une conversation continue. Je n'avais pas été éduquée à lire à la maison (peu de livres, culture populaire, peu éduquée) pas de conversations intellectuelles non plus. Bref, ce que je dis c'est que ces modules foncyionnent aussi comme des "muscles" comme dirait emmanuel, s'ils ne sont pas sollicités ardemment: c'est vain. Conclusion: la stimulation est capitale pour que le cerveau acquiert des compétences neuves! entraîne toi, UB, sérieusement sans te décourager à l'avance.
Quant à l'hypothèse de la fainéantise, je crois que ça joue pour beaucoup: j'ai horreur de me relire. Et quand je dois vérifier un mot dans le dico (google) je dois me forcer.
Sinon la bibliographie donne de nombreux exemples de personnages qui ont du abandonner une discipline pendant la compétition parce qu'ils avaient été distraits et qu'ils perdaient: s'ensuivait un découragement total.
Je cite Tammet D. (Je suis né un jour bleu) à propos des échecs.
Enfin, je sais que la performance intellectuelle est solidaire des états émotifs et affectifs. L'ensemble s'appelle le cognitif, je crois.
Sinon, un bilan (neuro)cognitif auprès d'un neurologue devrait te permettre d'être fixé. Ou si tu as de l'argent, au Centre de la Mémoire vers chez toi.
nana
Personnellement, j'ai toujours cru que j'avais une mémoire déplorable (inutile) et effectivement je ne pouais pas l'utiliser quand je voulais ni comme je voulais, je ne retenais rien par coeur ou alors seulement un jour.
Depuis, j'ai appris par coeur El Desdichado de G. de Nerval et une strophe interminable de Pride and Prejudice de J. Austen (Be not alarmed Madam..) J'y suis arrivée par ce que j'aime ces textes PASSIONNEMENT, que j'étais MOTIVEE et que je l'ai fait pour moi (pas de pression).
Pour ce qui est de l'attention je faisais pleins d'étourderies et j'en fais encore . Comme de confondre un mot avec un autre, comme d'écrire un texte et être satisfaite alors que lorsque je le relis le lendemain je trouve ça insensé.
Quand je suis fatiguée c'est une catastrophe!
Avant que je ne me socialise ou que je fasse travailler ces modules physiologiques dans des situations réelles en pensant que j'en étais capable, je ne pouvais me concentrer plus de 8 mns sur une conversation continue. Je n'avais pas été éduquée à lire à la maison (peu de livres, culture populaire, peu éduquée) pas de conversations intellectuelles non plus. Bref, ce que je dis c'est que ces modules foncyionnent aussi comme des "muscles" comme dirait emmanuel, s'ils ne sont pas sollicités ardemment: c'est vain. Conclusion: la stimulation est capitale pour que le cerveau acquiert des compétences neuves! entraîne toi, UB, sérieusement sans te décourager à l'avance.
Quant à l'hypothèse de la fainéantise, je crois que ça joue pour beaucoup: j'ai horreur de me relire. Et quand je dois vérifier un mot dans le dico (google) je dois me forcer.
Sinon la bibliographie donne de nombreux exemples de personnages qui ont du abandonner une discipline pendant la compétition parce qu'ils avaient été distraits et qu'ils perdaient: s'ensuivait un découragement total.
Je cite Tammet D. (Je suis né un jour bleu) à propos des échecs.
Enfin, je sais que la performance intellectuelle est solidaire des états émotifs et affectifs. L'ensemble s'appelle le cognitif, je crois.
Sinon, un bilan (neuro)cognitif auprès d'un neurologue devrait te permettre d'être fixé. Ou si tu as de l'argent, au Centre de la Mémoire vers chez toi.
nana