Re: La consultation publique Autisme à l'âge adulte est ouverte_DEBAT
Publié : 10 Août 2017, 10:49
Salut samoju, ça fait plaisir de te relire, et tes remarques me semblent importantes.
5 c'est peu, ok, mais existe-t-il une autre association d'autiste dans laquelle c'est les autistes qui tentent de répondre par eux même?
Si jamais il n'y en a pas d'autre, alors peu importe le nombre, la réponse est très précieuse par ce que unique!
Les aidants formés en direct à l'échange atypique, à la pensée atypique de leurs interlocuteur je n'en doute pas.
Ce que moi je pointe c'est sa non prise en compte à l’échelle des mécanismes administratifs de consultation.
En plus du problème de temps sur lequel tout le monde s'accorde, tu pointe celui de l’expérience, et je crois que c'est très judicieux.
Ça viens renforcer une idée évoqué en privé sur le temps long des plans autismes.
Le troisième concernait la période 2013-2017
Celui là c'est le quatrième, pour la période 2017-2022 je suppose.
Voilà un temps long utilisable pour viser la structure même du plan autisme 2022-2027 avec un objectif : que le retour des personnes aidées soit le point centrale de l'évolution des recommandations.
Dans le cas contraire, alors le constat serait qu'on aides en priorité les aidants. C'est pas illégitime, leur tache est lourde, mais il ne faut pas confondre l'aide au aidant et l'aide au aidés.
Mal nommer les choses n'est pas anodin.
L'effet handicapant d'un handicap de communication est partagé avec l'entourage, et seul les autistes peuvent forger dans la justesse la distinction de ce qui est bon pour eux, qui seul peut permettre de ne pas le confondre avec ce qui est bon pour les aidants.
Ma conviction en tant qu'observateur extérieur et qu'une confusion existe et qu'elle est entretenue par les méthodes de consultation, alors je partage nom point de vue excentré.
Qu'on me place dans le spectre autistique ou non, je ne suis ici qu'un agitateur d'idée sans légitimité aucune, ce qui ne m'empêche pas de jouer à le présenter façon mission impossible : Votre tâche, si vous l'acceptez, est de mettre en évidence cette distinction, pour que l'aide envers chacun soit mieux distingué et mieux adapté.
5 c'est peu, ok, mais existe-t-il une autre association d'autiste dans laquelle c'est les autistes qui tentent de répondre par eux même?
Si jamais il n'y en a pas d'autre, alors peu importe le nombre, la réponse est très précieuse par ce que unique!
Les aidants formés en direct à l'échange atypique, à la pensée atypique de leurs interlocuteur je n'en doute pas.
Ce que moi je pointe c'est sa non prise en compte à l’échelle des mécanismes administratifs de consultation.
En plus du problème de temps sur lequel tout le monde s'accorde, tu pointe celui de l’expérience, et je crois que c'est très judicieux.
Ça viens renforcer une idée évoqué en privé sur le temps long des plans autismes.
Le troisième concernait la période 2013-2017
Celui là c'est le quatrième, pour la période 2017-2022 je suppose.
Voilà un temps long utilisable pour viser la structure même du plan autisme 2022-2027 avec un objectif : que le retour des personnes aidées soit le point centrale de l'évolution des recommandations.
Dans le cas contraire, alors le constat serait qu'on aides en priorité les aidants. C'est pas illégitime, leur tache est lourde, mais il ne faut pas confondre l'aide au aidant et l'aide au aidés.
Mal nommer les choses n'est pas anodin.
L'effet handicapant d'un handicap de communication est partagé avec l'entourage, et seul les autistes peuvent forger dans la justesse la distinction de ce qui est bon pour eux, qui seul peut permettre de ne pas le confondre avec ce qui est bon pour les aidants.
Ma conviction en tant qu'observateur extérieur et qu'une confusion existe et qu'elle est entretenue par les méthodes de consultation, alors je partage nom point de vue excentré.
Qu'on me place dans le spectre autistique ou non, je ne suis ici qu'un agitateur d'idée sans légitimité aucune, ce qui ne m'empêche pas de jouer à le présenter façon mission impossible : Votre tâche, si vous l'acceptez, est de mettre en évidence cette distinction, pour que l'aide envers chacun soit mieux distingué et mieux adapté.
