nana a écrit :un cadre optimal pour une personne non autiste peut être défavorable fonctionnellement à une personne autiste. Ne pas le voir c'est créer du handicap
C'est parfaitement résumé.
nana a écrit :Mais pour que ce soit vu encore faut-il expliquer de long en large et en travers en quoi c'est problématique.
Non!
C'est ce que moi je fait ici, mais la position Autiste ne nécessite pas d'être comprise, il suffit qu'elle soit partagé et présenté. Point.
Cette expression est rare, donc forte et précieuse de fait.
L'obligation de passer par l'acceptation des aidants est un travers installé dont il faut précisément sortir (à mon avis).
S'il aident cette expression tant mieux, si non tant pis pour eux.
nana a écrit :Une fois *compris par l'interlocuteur (la HAS), un cadre alternatif qui sied aux 2 peut être posé et acté.
Alors oui, c'est la solution idéal, celle où les recommandation aux "staff d'encadrement professionnel" intègre et comprend le problème.
Mais il ne faut pas se tracer un chemin qui passe nécessairement par eux.
C'est comme les ponts à péage, il faut avoir déjà une route alternative pour voir si ça vaut le coup ou pas et ne pas risquer de se retrouver coincé.
Profiter de cette élan si c'est possible, oui, faire un effort pour profiter de l’aménagement d'un raccourcis, oui, mais pas que.
Pour arrêter de filer la métaphore du voyage, on risque de se heurter a une impossibilité a comprendre
contre laquelle on est complètement impuissant si jamais elle tiens du refus de comprendre. (Je n'en sais rien, mais les réponse de la HAS me semble épatante d’imperméabilité face au problème soulevé)
Alors pour s'exprimer on peu faire d'autres choses :
On peu consulter des autistes sur d'autres questions,
Faire un document alternatif,
Jouer a présenter les choses d'une façon nouvelle et ludique, j'ai pensé a faire une consultation d'aide aux personnes qui "nous" aide", pour aider gentillement a permettre vraiment se vivre comme aidé.
Je développe cette dernière idée :
Avec le même tons, on peut émettre des recommandations concerté aux autistes sur la bonne façon d'aider les aidants à dépasser cette impossibilité à comprendre en quoi s'entendre entre eux n'est pas entendre les autistes.
D'ailleurs c'est sincèrement ma conviction profonde, et je suis infiniment convaincu que les autistes peuvent, voir doivent, aider les non autistes a comprendre a quel point "ils se voient dans les personnes qui s’expriment le moins", ou "dont ils perçoivent le moins bien l'expression"
Moins l'autiste bouge, plus l'accompagnant n'y vois plus que lui même ... explication selon moins de l’apaisement qu'ils croient percevoir dans le packing ... le leur! (sujet glissant que je ne pousserais pas plus avant)
C'est juste une idée, que je pose en passant.
Je rappelle que vous pouvez développer les vôtres
ici, et que ça peu devenir une plateforme de travail, ou simplement un pense bête.